Qui êtes-vous ?

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Notre petite histoire qui commence à peine tant attendue…ELLE et moi
Sensation vibration mutuelle ouverte à tous venez nous rejoindre

A vous tous ...!!! les rêveurs.

A tous les rêveurs est-ce le sexe d'une femme un defi ou une défence?
ALLONS Y ce corps qui nous fait tant de plaisir .



vendredi 31 décembre 2010

Bonne année!!!!!!!!





Deseo el feliz año nuevo a Anna Rebecca. Bettyeden. Roxelanne. Magnolia un año pleno de fuerte amor y pleno disfrute.



Regardez moi ces femmes quand elles sont endormies n'est-elles pas belles j'aime les voir oooooo là je bande déjà


sousSous une lumière tamisée allongés au lit Des baisers et de tendre caresse qui nous font monter le desir ardant

vague de plaisirVagUe de plaisir nous envahisse mon Lynchli
A nous la belle soirée .Je te lècherai tendrement tes courbes de chair .oh !! que tu es belle ton chemisier qui me laisse voir tes fesses .ton cul .A MOI lynchli

UN conte sexy





Il me souleva de terre, je passais mes jambes de chaque côté de son corps. Il me porta à son lit. Il m'allongea me gardant les jambes en l'air. Il m'écarta les fesses et fourra sa langue dans mon fion. Une langue longue et pointue qui me pénétrait loin dans le cul. Il se redressa, je vis son membre dur encore plus gros, encore plus long, énorme avec quelques veines gonflées sur le pourtour. Le gland était énorme et rouge. Je passais mes jambes sur ses épaules. Il appuya son gros gland sur ma rondelle puis commença à enfoncer son tube dans mes entrailles.

Je redressais la tête pour regarder cette énorme queue pénétrer en moi. Je serrais les dents sous la douleur de cette pénétration anormale mais aussi sous le plaisir intense que me procurait la dilatation de mon anus. Je voyais ce bras de bébé s'enfoncer en moi juste qu'à la garde. Il prenait son temps afin que je ne souffre pas trop. Il se mit à faire des mouvements de va-et-vient d'abord lentement puis plus rapidement. À chaque fois il enfonçait sa bite au fond de mon cul, le plus profondément possible. Je sentais ses couilles battre contre mes fesses. Il se retira et me fit me mettre à genoux, le ventre sur le lit, le cul à sa merci. J'écartais les jambes et me cambrais afin de lui offrir mon trou dilaté. Il m'encula d'un coup. Ses mouvements étaient rapides et forts. À chaque fois le lit tapait contre le mur. Il ahanait bruyamment. Tout d'un coup, de la chambre voisine, un coup fut frappé contre le mur.

— Calmez vous, j'aimerais réviser en silence.

Mon partenaire répliqua:

— Tu n'as qu'à nous rejoindre.

— J'arrive.

Ses coups de butoir continuèrent de plus belle. Après son passage ma cheminée serait une gare routière.

Le voisin entra et nous regarda. C'était un jeune homme appelé Marc. Il porta immédiatement sa main à son jean. Sébastien éjacula dans mon cul, me remplissant de sa semence chaude. Il devait bien en déverser plus d'un verre. Il se retira, me mit une petite claque sur les fesses puis dit:

— Allez je vous laisse, je vais prendre une douche.

Marc s'approcha, ôta sa chemise et se mit à genoux. Il me lécha le cul, lapant le sperme qui s'en écoulait. Il m'écartait bien les fesses afin de pouvoir atteindre le fond de mon trou. Il finit de se déshabiller. Je me retournais et m'asseyais sur le lit. Il s'approcha de moi et fourra sa queue dans ma bouche. Je sentais la chaleur et l'excitation de son corps passer à travers sa bite. Il éjacula très vite.

— N'avale pas.

Il m'embrassa. Son sperme se mêla à nos salives. Il se mit à genoux sur le lit m'offrant sa croupe.

— Baise moi.

Je me mis debout et l'enfourchais d'un coup. Il gémit sous l'impulsion forte qui lui explosait le cul. Il disait des insanités, voulait que je l'insulte, se comportait pire qu'une chienne en chaleur. Je lui défonçais le fion violemment. J'attrapais sa crinière noire et lui tirait la tête en arrière. À chaque fois je ressortais presque entièrement ma queue de son trou et m'y enfonçais d'un coup sec. J'entrais une dernière fois au fond de ses entrailles et j'éjaculais, déversant ce qui restait de mon fluide. Je me retirais.

Il s'enfonça les doigts dans son cul, les ressortait couverts de mon sperme et léchait goulûment sa main. Je le laissais et retournais me reposer dans ma chambre. J'avais besoin d'une douche mais je décidais de me reposer auparavant. Je me réveillais vers minuit et demi. Je retournais me laver. En approchant des douches, j'entendais qu'il y avait beaucoup d'animation. Je passais ma serviette autour de mon cou. La salle de douche était plongée dans une pénombre assez importante et je pouvais voir plus d'une dizaine de formes en action.

Sitôt que j'entrais dans la salle, des mains parcoururent mon corps et arrachèrent la serviette qui me protégeait. Des mains passaient sur mon torse tâtant mes muscles, d'autres caressaient mon sexe, certaines les fesses et même quelques doigts tentaient de pénétrer mon trou. Un homme prit ma tête à deux mains et m'embrassa.

— Salut Phil, prêt pour la fiesta.

C'était Julien. Il me fit me pencher en avant, m'exhibant sa queue grossissante: une bite grosse, bien droite avec quelques petites veines et surtout très longue.

— Suce-moi et montre bien ton cul. Il faut d'abord que mes copains t'élargissent sinon je ne pourrais jamais te baiser.

Je commençais à le pomper. Sa queue était bonne mais d'une taille vraiment monstrueuse. Une langue glissa le long de la raie de mes fesses. J'écartais les cuisses et me cambrait afin de bien offrir ma croupe. La langue s'enfonça entre mes fesses pour atteindre mon anus. La langue du mec qui me léchait était longue et elle pénétra dans mon trou agilement. Je la sentais bouger dans mes entrailles. Pendant ce temps, Julien continuait à engouffrer son membre dans ma bouche. La langue se retira, un doigt pris sa place. Un doigt qui fouilla un peu dans mon intimité, puis un deuxième vint le rejoindre, puis un troisième. Le mec essaya d'enfoncer sa main mais mon cul n'était pas assez large.

Néanmoins il continua à travailler mon cul quelques minutes. Puis il retira sa main, se releva et m'enfourcha d'un coup enfonçant dans mon cul sa bite qui était grosse mais peu longue. Je sentais mon anus encercler sa queue. Il alternait les cadences. Une fois il faisait des va-et-vient rapides, puis il ralentissait. Il sortait complètement sa queue et l'enfonçait violemment d'un coup dans mon trou. Pendant se temps, je continuais à sucer Julien. Mon pénétreur commença à s'exciter, ses mouvements étaient moins rythmés, plus désordonnés. Il expulsa sa jute en moi, réchauffant ainsi mes entrailles. Un autre le remplaça.

— Je vais te nettoyer le cul.

Il prit une savonnette et posa le petit bout devant mon trou et commença à appuyer sur ma rosette. Il poursuivit ce travail lentement jusqu'à ce que la savonnette soit presque entièrement en moi avalée par mon cul. Mon fion, huilé par la savonnette, était glissant comme une patinoire.

— Attends, je vais te nettoyer aussi l'intérieur du cul.

Il se redressa et m'encula, poussant dans mes entrailles la savonnette avec sa bite. Mon anus se referma d'un coup sur sa queue. Il me lima le fion rapidement, entrant et sortant vivement. Sa bite glissait facilement grâce au savon. À chaque fois qu'il enfonçait sa queue il poussait un peu plus la savonnette, c'était douloureux et bon à la fois. Il se retira d'un coup et me fit mettre sur le dos, les cuisses posées sur son torse, le cul en hauteur, offert. Il plongea sa queue d'un coup dans mon cul. Un couple se mit juste au-dessus de moi: un se faisant prendre et l'autre le sodomisant avec vivacité. Je pouvais voir ce que l'on était en train de me faire. Je regardais avec avidité cette belle queue qui s'enfonçait dans ce trou goulu. L'enculeur jouit. Insatisfait l'enculé s'accroupit m'offrant son cul à lécher. Son trou était bien large et ma langue pouvait entrer loin en lui. J'arrivais même à lécher quelques gouttes du sperme de son précédent baiseur. Il se redressa et s'empala sur ma queue. Mon enculeur se retira. Il avança doucement derrière le jeune que je pénétrais et essaya de faire entrer sa queue en même temps que la mienne. Nous étions deux en lui. Il gueulait de douleur et de plaisir, surtout que tous les deux nous bougions rapidement nos queues.

— Enfonce moi ta main dans le cul, me dit l'avaleur de bite.

Il se dégagea de nos bites et se mit à genoux. Je fis ce que plus tard on nomma Fist Fucking. Je me mis à genoux et je lui enfonçais ma main dans les entrailles. Un autre homme se mit à côté du premier fist fucké et me demanda de lui mettre mon autre main. Pendant ce temps mon enculeur avait repris sa position initiale, me faisant bien jouir du cul. Un quatrième garçon s'allongea sur le sol et se mit à me sucer alors qu'un cinquième se mit en face de moi afin que je le turlutte. J'étais avec mes deux mains occupées dans deux culs différents, ma queue dans la bouche d'un inconnu, ma bouche bouffant le membre d'un autre et mon cul limé par une bite d'enfer. Alors que je jouissais, le garçon me déchargea dans la bouche et mon enculeur envoyait sa purée brûlante dans mes entrailles. J'enlevais mes mains des fions où très rapidement de grosses bites prirent leur place.

Après une telle séance je préférais retourner à ma chambre pour me reposer car après tout j'avais des cours à suivre le lendemain matin. Comme j'arrivais devant ma chambre, Julien me rejoignit

— Alors à nous deux maintenant.

J'ouvris la porte de ma chambre, m'écartant pour laisser passer Julien. Sitôt la porte fermée, Julien laissa tomber sa serviette, exhibant sa nudité, son corps viril, son membre encore gonflé de sang. Il m'arracha ma serviette et m'attira contre lui. Nos deux corps étaient serrés l'un contre l'autre, nos torses chauffés par l'envie. Sa langue pénétra ma bouche. Il avait une langue fine, pointue, ferme et très agile. De sa main gauche il caressait mon dos, de la main droite, il pétrissait mes fesses. Il me fit mettre à genou et enfila sa grosse queue dans ma bouche. J'avalais avidement cette énorme queue que ma bouche ne pouvait contenir en entier. Je sentais les veines qui couraient le long de son membre turgescent. Mes sens étaient affolés par le plaisir que de pomper Julien et par l'odeur légère et parfumée dégagée par son pubis.

Julien me releva et me fit mettre à genoux sur mon lit, les cuisses bien écartées afin d'avoir le cul bien ouvert. Il attaqua ma rosette avec sa langue, pénétrant mon trou de sa pointe fine. Ses mains étaient accrochées à mon bassin, son visage enfoui entre mes fesses. Il dégustait mon trou comme on lèche une bonne glace; passant et repassant la langue, mordillant à pleines dents.

— T'es pas assez ouvert pour que je te pénètre avec la langue.

Il se redressa et présenta son membre turgescent à mon anus. Il força un peu pour faire pénétrer son gland. Il accrocha ses mains à ma taille, me tenant bien fermement, puis d'un coup s'enfonça jusqu'à la garde. Je criai de surprise et de douleur.

— Eh du calme.

— Ce n'est qu'un bon moment à passer.

Il prenait plaisir à aller et venir vigoureusement, sortant complètement sa queue et l'enfonçant à nouveau à fond dans mon cul.

Après quelques minutes de cet intense va-et-vient, qui je devais le reconnaître, me procurait un intense plaisir, il se retira et se remit à genoux derrière moi. Mon trou était bien dilaté et il enfonça sa langue en moi. Je devais reconnaître que sentir cette langue longue et pointue se mouvoir en moi, me déclenchait une sensation incroyable à laquelle je ne m'attendais pas. La pointe de sa langue titillait toutes les zones érogènes de mon cul. Après quelques secondes, mes sphincters se resserrant, il me fit m'allonger sur le lit et me couvrit se son corps, en profitant en même temps même temps pour caler à nouveau sa bite dans mon cul.

J'étais complètement soumis, écrasé par son corps musclé, pénétré par ce mâle énergique. Je me sentais bien, coincé, chauffé par son corps magnifique et excité par sa vibrante queue. Nous basculâmes sur le côté afin que je puisse me branler en même temps qu'il continua son limage viril. Nous avons jouis ensemble. Il laissa son membre gonflé dans mon cul.

— Je peux rester dormir avec toi.

— Évidemment, répondis-je avec entrain, encore sous le choc extatique du plaisir.

Nous nous endormîmes, moi calé contre son torse, sa bite toujours dans mon cul.

Dans la nuit, je me réveillais sentant Julien bouger. Sa queue était toujours dans mon trou et il était en train de faire des basculements de bassin afin de se branler dans mon cul. Je sentais son sexe grossir en moi. La sensation était étonnante et affolante. Son sexe grossissait et se développait dilatant mon trou en même temps. Immédiatement, j'avais une érection. Julien empoigna ma bite et la serra fortement. Il s'accrochait à mon mât tout en m'enculant. Dans un mouvement plus fort et plus profond, sa lance cracha en moi une nouvelle fois son chaud liquide me faisant jouir en même temps.

Nous nous endormîmes, mais chacun de son côté du lit.amis

jeudi 30 décembre 2010

Ma lynchli



AI-je été insensible à ton charme? Oh!!! non !!! j'irai même m'offrir ton corps pour clôturer cette fin d'année je te souhaite tous les voeux qui puisse exister

mardi 28 décembre 2010

Roxelanne



UNE.............. FEMME........ sensuelle et sexy.............

Betty


Et voila des belle fesses c'est du fantasme ou réalité ? Moi je dirai c'est du réel .................c'est Betty

Approche!!!!!!!!!




Le contact de sa peau m’envoyait des impulsions électriques, tout en lui léchant le cou je lui fis sauter son soutien-gorge d’un claquement de doigt et goûtait à ses seins libérés de leurs entraves. Je lui dévorais les seins et le ventre, je parvins aux cuisses et je sentis l’excitation monter d’un cran chez elle. Je lui léchai l’intérieur de ses cuisses, approchant doucement sa
chatte

vendredi 24 décembre 2010

Acte 1




J’étais plongé dans mes pensées, le verre de champagne toujours en main…quand un parfum si plaisant vint chatouiller délicatement mes sens…

Elle était dans l’embrasure de la porte, une main posée, à hauteur de son visage, sur le chambranle de la porte…un sourire taquin illuminait son visage…et son regard ne me quittait pas…

jeudi 23 décembre 2010

ACTE2




Elle était resplendissante dans cette robe qui dessinait si bien ses formes. Elle avait agrémentée sa tenue, que je lui avais choisit, par un maquillage très soutenue, dont elle connaissait si bien l’effet sur moi…Dessinant ses yeux avec excès, tirant celui-ci vers l’extérieur, suivant la courbe relevé de ses sourcils finement préparés… Ses lèvres, assortis à la couleur de sa robe, brillaient comme des diamants.

ACTE 3




Je me levai et lui tendis ma main, qu’elle prit avec délicatesse.
Je la conduisis vers sa place, tirant d’abord la chaise avant qu’elle s’y assoit.
Elle tira sur sa robe, légèrement pour lui faciliter son assise, m’offrant une vue remarquable sur son dos à nue…s’assoyant d’abord comme une amazone, puis ramenant dans une douceur affolante ses deux jambes sous la table…et je rapprochais la chaise….

ATC 4




J’aime voir ces petits détails si féminins dans la mouvance d’une femme….cette façon sensuel d’user de ce charme si naturel et si envoutant pour l’œil qui observe…que parfois on en reste si muet et Béa….
Le repas fut un délice tant pour la bouche que pour les yeux…
Nous mangions nos mots, nous dévorions nos regards, nous nous envoutions de ce simple repas…Les sourires fusaient de ci de là…et toutes nos phrases n’étaient que subtiles sous entendus et jeux d’éveil de nos sens…déjà bien a l’affût

ACTE 5




Puis, le désert pris, je l’invitais à quelques par de danses.
La musique était douce.
Sa main posée sur mon cœur, recouverte par la mienne, mon autre main jouait dans l’ouverture de son dos, tantôt des bouts des doigts tantôt de mes ongles long.
Lorsque j’usais de mes ongles, sa peau se parait de frisons, juste le passage, et la peau se couvre de ses petits signes…si visible sur la peau
Puis, après quelques chansons…et de mélanges de bouches, de langues et de salives…
Je pris d’une main, son cou…et de mes doigts je cherchais ce nœud…libérateur…
Ils trouveraient le fil, tirant dessus…
Elle baissa la tête pour mieux m’y aider…
Rapidement son étoffe tomba à terre…
Elle était nue…et je l’enlaçais pour sentir la chaleur de son corps…
Nous dansions encore sur une chanson…

mercredi 22 décembre 2010

LYNCHLI




Lorsque j’ai créé ce Blog, je l’avais fais surtout dans le but de partager et d’évoquer une passion qui m’était disparue et me hantait…Je ne pensais pas que le destin puisse m’apporter à travers lui celle qui est à Jamais pour moi

ENVIE




A peine m’étais-je approché d’elle qu’elle m’embrassa brièvement à pleine bouche avant de saisir ma queue qui commençait à se durcir. Elle avait à nouveau ce regard vicieux si particulier. Tout en me fixant, elle me branla par-dessus le pantalon pendant que j’agrippais ses fesses d’une main et ouvrait sa veste de l’autre. ELLE ne portait rien dessous, Je baissai la fermeture éclair à moitié, de quoi sortir ses deux gros seins

Soif





Pas question d’attendre, je la colle à moi, relève ma toge et l’invite aussitôt à étancher ma soif. Mon sexe est déjà dressé à son intention. Ma reine me prend en bouche, sa couronne tombe mais elle ne cherche pas à la ramasser. Ses lèvres prennent position, immobiles sur mon gland et sa main gauche crée le mouvement. Elle me branle en douceur, laissant quelques gouttes de salives couler le long de ma verge.
Je regarde autour de moi : Un six et un neuf. Qu’à cela ne tienne. Je couche ma reine à terre et lui relève ses amples jupons. Elle est nue sous sa robe et je m’allonge à ses côtés, attrapant ses fesses à deux mains pour enfouir mon visage à la base de ses cuisses. De son côté, elle reprend mon sexe dans sa bouche, mais cette fois, ce sont mes petits coups de reins qui donnent le rythme. Je la bascule sur le dos et grimpe sur elle. Je fais l’amour à sa bouche, profondément. Ma langue joue avec son clitoris et je ne sais plus à qui appartient la jouissance. A elle ou à moi ? Elle plaque ses mains sur mes fesses comme pour m’engloutir au plus profond. Sa main droite creuse son passage et un index volontaire vient se positionner sur mon anus.
Attention, danger, je vais jouir. Sauvé. Un sept me pose un sacré problème. Je dois absolument lui faire rejoindre un huit dissimulé entre un deux et un cinq. L’enjeu en vaut la chandelle et cette distraction me sauve la mise. Je dois tenir jusqu’au bout. Je me concentre sur une suite à carreau voisine. Une vraie orgie. Ils sont sept, imbriqués les uns dans les autres.
Dernier tirage. Ma reine rouge est toujours à mes côtés. Fidèle comme une ombre. Elle ne m’en veut pas de l’avoir délaissée mais décide de reprendre les choses en main. Elle saisit ma queue d’une main et me prend les deux couilles dans l’autre, comme pour soupeser l’enjeu de ce qui m’attend. Elle gobe mon sexe mou et le roule sous sa langue. De plus en plus vite. L’érection revient au galop et très vite, mon sexe ne tient plus en entier dans sa prison. Alors elle entame un va et vient, sans me lâcher les deux testicules durs comme des œufs de pierre. Je n’en puis plus. Je m’arrache à sa bouche, la relève, la retourne et la colle contre le mur. Je lui relève la jupe, fléchis les genoux et entre en elle d’un seul coup en remontant. De violents coups de buttoir, je sens mon plaisir monter en elle et elle pousse ses fesses en arrière pour mieux me recevoir. L’orgasme ne se fait pas attendre. Je jette un œil. C’est bon, la réussite est gagnée. Je crois que je vais me la faire

lundi 20 décembre 2010