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lundi 7 décembre 2009

C'est votre main qui fait tout



Parfois, quand elle disparaissait de ma vue, je retournais m’allonger sur mon lit, je sortais mon sexe et je me branlais en pensant à ce petit cul luisant de sueur, musclé. Je m’y enfonçais dedans et elle, elle remuait en haletant, comme elle haletait quelques instants auparavant en passant devant ma fenêtre.
J’ai eu envie de l’apprivoiser, comme on apprivoise un petit animal sauvage. J’ai commencé par installer une table devant chez moi. La première fois, elle a ralenti. Elle a jeté un coup d’œil sur ce meuble qui n’était pas vraiment à sa place, mais elle a continué sa course, sans s’arrêter.
Pour mieux la voir, j’avais eu l’idée d’installer un rideau devant ma fenêtre, avec juste un petit trou invisible de l’extérieur afin de l’épier sans risquer de l’effaroucher. C’était pratique aussi car maintenant, je pouvais commencer à me masturber en la voyant arriver. C’était infaillible. Dès que je distinguais au loin sa petite silhouette, une érection arrivait. Quelque fois, je pouvais même me faire jouir avant que son cul n’ait complètement disparu, là-bas, sur le chemin qui longe la plage. Je gardais l’œil ouvert, rivé sur le trou, une main sur mon sexe, l’autre posée à plat sur une tablette pour avoir un meilleur appui. Même comme ça, ce n’était pas facile de ne pas faire bouger le rideau, alors j’ai fait poser des vitres fumées. Ça gâche un peu la luminosité dans ma chambre mais je peux maintenant rester nu devant ma fenêtre et jouir du spectacle en son entier.
Quelques temps plus tard, j’ai posé une petite bouteille d’eau sur la table. Ce jour-là, elle s’est carrément arrêtée pour voir de quoi il en retournait. Elle s’est approchée de la table, a tourné la tête à droite, puis à gauche et elle est repartie en courant. Cela n’a duré qu’un instant, mais j’ai pu la voir pour de vrai. Sa respiration était lourde. Sa poitrine montait et descendait à un rythme qui me faisait accélérer ma propre respiration. Maintenant, en plus de son cul, j’avais aussi ses seins à ma disposition et je voyais mon sexe glisser frénétiquement entre ses deux mamelons. Mes mains les saisissaient, les englobaient, les massaient et ma bouche les mordillait. Ma langue les léchait. Mes doigts les pinçaient. Ce jour-là, j’ai mis longtemps à jouir car j’ai voulu aller jusqu’au bout de son corps, ne pas le contenter de son cul, mais profiter de chaque centimètre carré qu’elle m’offrait.
Chaque jour, je changeais la bouteille. Et j’ai fini par rajouter une petite pancarte : « Servez-vous ». Elle s’est arrêtée de nouveau. Elle a pris la bouteille et a dévissé le bouchon. Je voyais ses mains saisir mon sexe, le faire tourner entre ses doigts et quand elle a porté la bouteille à ses lèvres, j’ai senti ma queue entrer dans sa bouche. Elle a bu longuement. Je me suis cambré pour m’offrir à elle et elle m’a bu, jusqu’à la dernière goutte